septembre
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Le VTT souffre d’un handicap depuis son apparition et surtout depuis sa démocratisation en tant que matériel de loisir nature : il est assimilé pour le législateur à un « véhicule », une dénomination très large qui regroupe les vélos, les motos, mais aussi les quads, les autos, les autobus, les camions, etc.
A ce titre, il est supposé répondre aux mêmes règles que ses congénères motorisés, c’est à dire qu’il n’a en principe accès qu’aux voies dites « de circulation », et doit également (au grand désespoir des vélocistes) être équipé d’un éclairage conforme et de réflecteurs.