Le VTT souffre d’un handicap depuis son apparition et surtout depuis sa démocratisation en tant que matériel de loisir nature : il est assimilé pour le législateur à un « véhicule », une dénomination très large qui regroupe les vélos, les motos, mais aussi les quads, les autos, les autobus, les camions, etc.
A ce titre, il est supposé répondre aux mêmes règles que ses congénères motorisés, c’est à dire qu’il n’a en principe accès qu’aux voies dites « de circulation », et doit également (au grand désespoir des vélocistes) être équipé d’un éclairage conforme et de réflecteurs.
Traductions IMBA Cet article ouvre une longue série qui sera mise à jour le plus régulièrement possible, et qui proposera simplement la traduction d’articles en provenance de publications proposées par l’IMBA, l’International Mountain Bike Association, qui fait référence en la matière. Les thèmes seront sélectionnés en fonction des questions et préoccupations locales qui nous concernent […]